Madame REY Laurence
(Adresse suprimée)
, le 10 novembre 2008
Objet: Claude COUET
Monsieur le Procureur de la République,
Vous trouverez ci-joints:
- courrier que j'ai adressé au Tribunal d'Orléans le 11 octobre 2008
- copie de leur réponse
- copie de la réponse obtenue auprès du Tribunal de Grande Instance de Poitiers.
Je vous informe de mon inquiétude et de mon désarroi et j'avoue de pas
comprendre pourquoi C COUET n'est pas resté à la maison d'arrêt et surtout pourquoi
n'a pas été révoqué le sursis étant donné que le prévenu n'a pas indemnisé les
victimes, Nous ne savons pas s'il a subit des soins. Clauses qui étaient des raisons de
révocation du sursis.
D'autre part, comme le stipule le courrier que nees-avens effectué, nous vous
informons que C COUET a fait d'autres victimes, certaines sont malheureusement
frappées par la prescription mais pour 4 de ces victimes la prescription n'a pas lieu et
des plaintes sont ou vont être déposées.
En ce qui concerne l'adresse qu'il a donné, je tiens à vous faire savoir que cette
maison a été vendue par lui même à un de ses frères. Par contre, le châlet de Font
d'Urie n'est pas encore vendu.
Monsieur le Procureur, je vous le demande en tant que mère d'une victime, je
vous le demande pour toutes les anciennes victimes et pour qu'il n'yen ait pas de
nouvelles, il faut révoquer le sursis par pitié: M. COUET ne s'arrêtera pas là. Mon
fils a 20 ans maintenant mais la dernière victime connue à 18 ans ce qui tendrait à
vouloir dire qu'après mon fils il a recommencé.
Je me tiens à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
Dans l'attente de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur le Procureur de la
République, mes meilleurs sentiments.
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